Comme l’explique John Whitmore dans Coaching for Performance, le coaching consiste à libérer le potentiel des personnes afin de maximiser leurs performances. Ce n’est pas simplement une technique : c’est une manière de penser et de créer les conditions favorables à l’apprentissage et à la croissance.

Lors d’une séance de coaching, vous ne recevrez pas de directives toutes faites. À la place, on vous posera des questions puissantes qui vous aideront à trouver vos propres solutions. Ce processus conduit à des changements de comportement et, au final, a un impact positif sur votre carrière et vos réussites personnelles.

Autrefois réservé aux cadres dirigeants, le coaching est aujourd’hui un outil largement utilisé par toute personne confrontée à des défis ou à une période de transition. Que vous souhaitiez exceller dans votre rôle actuel, explorer de nouvelles pistes professionnelles ou simplement clarifier vos objectifs, le coaching offre un soutien adapté.

Pour les scientifiques, cela signifie souvent :

• Prendre des décisions de carrière avec confiance.

• Surmonter les doutes liés aux compétences transférables hors du monde académique.

• Se libérer de schémas contre-productifs comme la procrastination ou le perfectionnisme.

Est-ce que cela vous parle ?

• • Vous êtes tellement absorbé par vos recherches que vous n’avez plus de temps pour réfléchir à votre avenir.

  • Vous procrastinez la rédaction de votre thèse, alors même que vous souhaitez avancer.

  • Vous pensez que votre doctorat ne vous a donné que des compétences techniques, inutiles en dehors du monde académique.

  • Lorsque vous envisagez une réorientation, des doutes surgissent : « Je n’ai aucune compétence. Rien en dehors du monde académique ne vaut la peine de postuler. »

Ces situations sont fréquentes, mais vous n’êtes pas obligé de les affronter seul.

Voici quelques exemples de ce que le coaching peut apporter aux scientifiques en période de questionnement :

1. 1. Vous avez du mal à communiquer avec votre directeur de thèse ou vos collègues.

   2. Vous ne trouvez pas le temps de planifier votre avenir professionnel à côté de vos recherches.

   3. Vous pensez que votre doctorat ne vous a donné que des compétences techniques limitées.

   4. Vous procrastinez la finalisation de votre thèse.

   5. Vous vous sentez piégé par certains mythes, comme : « Quitter le monde académique fera de moi un raté. »

   6. Vous ne savez pas par où commencer pour explorer des carrières en dehors du monde académique.

   7. Vous souhaitez rester dans la recherche, mais vous avez du mal à être créatif et innovant.